" A l'impossible, nul n'est tenu " dit le dicton ... qui devrait être inscrit sur le faisceau de licteur qui orne l'Elysée ...
... car enfin, qui peut sérieusement croire que l'urgente résorption de la partie excessive de la dette publique française ( entre 90-100 % du P.I.B., dette réelle actuelle, et 50-60 %, dette acceptable ) va se faire grâce à la création d'une taxe sur les boissons sucrées ... les jus de fruits, nonobstant plus riches en sucre, semblant épargnés ... !!!
Ce choix est le bon reflet de l'impossibilité présidentielle - c'est devenu une philosophie à la Onfroy, c'est à dire une anti-philosophie ! - que de refuser les choix légitimes en nos circonstances actuelles, à savoir taper largement tant dans les revenus excessifs que dans les patrimoines excessifs ...
Face à des faits têtus ( qui peut croire que le pseudo catalogue envisagé est susceptible de convaincre ces " maudites " Agences de notation ? ) c'est une diversion qui a été retenue : 200 millions € face à une remise ISF de 2 milliards ... etc ...
... mais une diversion potentiellement onéreuse car elle peut ici et là déstabiliser divers secteurs productifs, ce dont La France commence à manquer cruellement ...
Les Agences déjà mentionnées prendront ce catalogue pour ce qu'il est vraiment : non du béton, du calcaire ou de l'argile, seulement du schiste ...
A revoir !