Un maire de Bordeaux, devenu Ministre des Affaires Etrangères, qui oeuvre dans le silence ( ou presque )et reconstitue sans délai une équipe efficace, dont la mission réussit qui le propulse, au moins au niveau international, au sommet de l'élite politique :
.... fierté bourdeloise !
" Bourdeloise " ... parce que cette expression est celle employée au temps de Michel de Montaigne, lui aussi par deux fois Maire de Bordeaux, mais aussi conseiller des Rois, Henri III. comme Henri IV., et surtout pour le compte des mêmes leur négociateur, en particulier au temps des " guerres de religion " ....
.... Pressac sait apprécier cette continuité et s'en réjouit ...
.... car après tout, de tout temps à jamais, en cette campagne girondine, nous sommes complétement " bordelais " !
Si la " parole " est maintenant aux militaires, il n'empêche que le temps de la diplomatie n'est point terminée et que la tâche à effectuer par notre Maire - Ministre va demeurer lourde, avec une obligation d'efficacité.
Bon vent à lui !
( Certains bordelais ont contesté au moment de sa nomination comme ministre des Armées - nomination elle-même fort appréciée par les intéréssés, de même que celle ultérieure mentionnée ici aux Affaires Etrangères - le cumul des fonctions Maire / Ministre ... C'est bien vite oublier qu'il s'agit là d'une coutume bien locale, ne serait-ce qu'à cause du " vin de Bordeaux " qui de tous temps a comme " couru le monde entier ", hier à Rome, puis en Angleterre, puis partout et même aujourd'hui ren Chine ...
Quelle meilleure préparation ? )