" Pedali perdavit ! " : en latin élyséen, " il a perdu les pédales " !
Non ! Il ne s'agit point ici de mon oncle, parti en heureuse compagnie cycliste de Carignan-de-Bordeaux pour Carignano près Turin ...
( Ils sont arrivés dimanche dernier, en temps et en heure, ... pour ne pas être reçu par la nouvelle et berlusconienne municipalité qui n'en a rien à faire d'un jumelage avec d'autres communes d'Europe ... Les abrutis sont décidément un peu partout ! )
Il s'agit du sieur Alain Minc, conseiller officieux ( ? ) de N.S. que ce matin sur une radio a contesté la prise de parole " sous-jacente " du Pape Benoît XVI. ... sous prétexte que celui-ci était allemand et aurait, de plus, nommé un évêque révisionniste ...
Chacun peut apprécier les paroles du Pape comme il l'(entend ... il n'est pas même obligé de les écouter ....
Toutefois, monsieur Minc, comme d'ailleurs son " employeur officieux ", pratique quand quelque chose ou quelqu'un lui déplait une méthode facile : celle du discrédit et de l'injure ... ce qui lui évite d'écouter " sur le fond " ...
C'est nul ... archinul ... à la hauteur du personnage : définitivemernt médiocre !
"Médiocre" ? Même pas, plutôt minc rien ! Mais comme aurait dit le grand Devos, moins que rien c'est déjà quelque chose.
Je n'ai pas eu le privilège d'écouter la radio où a certainement pontifié le citoyen Minc, ce que je ne regrette pas, cependant j'ai pu observer par ailleurs que ce prétendu conseiller a un art consommé pour assimiler ses contemporains à des demeurés.
Comme disait un de mes regrettés amis bretons, requiescat in pace, "il se prend pas pour la moitié d'un oeuf à la coque..."
Kenavo.
Rédigé par : Tracas sain | 27 août 2010 à 10:11