du beau : Pressac !
du bon : les vins de Pressac ... du très bon même, de l'excellent ... !
du bonus : n'en fait-on pas un peu trop ces jours-ci à ce sujet ... non pas que l'excessif soit acceptable ... mais enfin, est-on sûr que " les conditions de marché " soient toujours les mêmes aujourd'hui et pour de nombreux mois qu'avant-hier ( c'est à dire " avant le déclanchement de la crise " ) ?
( Je ne doute pas qu'un peu au delà de cette année, lorsque les comptes 2009 seront arrêtés, il apparaisse un " besoin de distribution de bonus " bien moindre qu'en 2008 : ceux-ci sont nés les années antérieures d'un découplage faramineux économie financière / économie réelle ... où le multiple était de type stratosphérique ... La plupart des banques sont dans l'incapacité aujourd'hui d'assumer de tels niveaux de risque, y compris si elles s'y essaient pour atténuer les effets dans leurs livres de la détention d'éactifs pourris ... ce serait probablement jouer " le jeu de la mort " ... A bon entendeur salut ! )
Le réel problème, ces temps-ci, est celui du fonctionnement de l'économie réelle : l'activité des grands secteurs reste inférieure d'environ 20 % à ce qu'elle était voici un peu plus d'un an ; chaque entreprise a du mal à lire son futur à proche ou moyen terme, sauf quelques cas qui ne pèsent que modérément dans la fabrication du PIB.
Que faut-il ?
Du crédit ?
Encore plus de commissions de gestion ?
Plus d'implantation sur certains marchés émergents ?
Les réseaux bancaires sont dans un moment où ils ont à redéfinir leurs " modèles de gestion ".
Le citoyen est autant concerné que le Président.
.... Propos de paysan !
Bonne fête César !
... et de l'émotion ...
Pourquoi ne pas dire sa peine à l'annonce de la mort de Ted kennedy, un des " vrais " - parce que imaginatif et travailleur - représentant du peuple américain ... dans ce qu'il a de meilleur ...
Si vous voulez partager la peine de ce peuple et que vous êtes à Paris, allez voir au Centre Pompidou - vous avez jusqu'au 7 septembre - le film de Philippe Parreno " June 8, 1968 " qui évoque le voyage de New York à Washington D.C. du train qui transportait le cerceuil de son frère Robert avant qu'il ne soit enterré à Arlington, le cimetière des héros, comme il le sera lui-même.
J'imagine cette fois un voyage Boston-Washington D.C. et un hommage identique par un peuple unanime.