Le vin devrait être gai ce jour après le premier discours de notre Président devant le Congrés versaillais !
" Qui vivra ... verra ! ", car- si j'ai écouté très attentivement - je n'ai pas compris grand chose à ce qui nous attendait concrètement ...
Bien sûr que " La France doit changer " .... propos écrit dans de nombreuses antérieures pages de ce blog ... mais encore ... !
" Le Vin triste " ?
Le propos est de Jean-Claude Bourbon dans son édito du quatre pages " Economie & entreprises " de La Croix - www.la-croix.com - de ce jour, au lendemain de l'ouverture à Bordeaux de l'édition 2009 de Vinexpo ... où, peut-être, irai-je un moment.
Je recopie ( j'adore ça ... quand c'est intelligent ! ) une partie de cet édito :
" Pour expliquer une partie de leurs difficultés, les professionnels français qui ont perdu depuis 2005 leur première place à l'export, mettent en avant, pêle-mêle, les politiques de santé bridant la consommation d'alcool ou encore la hausse de l'euro.
On pourrait ajouter le manhque d'organisation de la filière, la complexité d'une offre de moins en moins adaptée à la demande, et, sans doute aussi la trop grande certitude d'un savoir-faire unique.
Bref, les travers du "made in France".
Les multiples appelations du vin français peuvent en effet satisfaire les oenologues avertis, mais ont de plus en plus de mal à convaincre les consommateurs lointains, beaucoup plus nombreux, qui sont d'abord à la recherche du meilleur rapport qualité-prix."
Deux remarques :
1/ Grâce à ma passion du découpage, je suis tombé ce jour sur le papier consacré par Sud-Ouest le 17 mars 2008 au livre d'Olivier Costa, Andy Smith et Jacques de Maillard ( dont le titre n'est pas même cité et dont il ne fut jamais vraiment question dans le monde viti-vinicole pourtant concerné ! ) : " Vin et politique - Bordeaux, la France, la mondialisation " qui développe en plus long les observations ... qui sont exactes à un ou deux bémols près de Jean-Caude Bourbon. La critique principale porte tant sur l'inefficacité que sur la suffisance de diverses institutions auxquelles les viticulteurs sont contraints, à leur corps défendant, de verser de significatives contributions ... Je dois tristement reconnaître que c'est de toute évidence exact .... !
2/ La préoccupation au quotidien de Pressac est bien " le meilleur rapport qualité-prix " .... peut-être est-ce pourquoi nous pouvons vous proposer " le meilleur rapport qualité-prix" tant en Bordeaux Supérieur, qu'en Entre-Deux-Mers et en Bordeaux Clairet ?....
Ne l'oubliez pas !
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