Heureusement qu'un des enfants de France s'est appelé Michel Audiard et un autre Gaston Bonheur.
Du premier nous avons retenu " Tu causes, tu causes ... ", délicieusement servi et qui a maintenant définitivement rejoint notre mémoire collective ...
Ce choix de titre n'a bien sûr rien à voir avec un quelconque événement qui se poursuit ici ou là à l'heure de la mise en ligne et qui cherche à plus encore magifier la parole ... alors même que nous devrions être invités " au sang et aux larmes " selon la parole churchillienne qui savait de quoi il s'agissait ... ce qui ne lui interdisait pas d'apprécier un bon cigare et d'aimer peindre de fines aquarelles ...
Pardonnez-moi ... si j'avais ce soir - ce n'est qu'une image - une âme de " Tonton Flingueur " !
Mais qui donc a cassé le vase de Soissons ?
" Il " cause ... j'écris !
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