pressac

De Germinal en Fructidor...

Hier j'ai écrit quelque bêtise... faute d'une connaissance suffisante du calendrier républicain et de ses correspondances dans le calendrier grégorien.

Faute avouée... faute pardonnée ?

Bref, j'ai bien travaillé ce jour pour retrouver auprès de vous quelque faveur !

Sauf erreur ( je me méfie de moi-même ! ) le 14 germinal An 3 est le 3 mars 1795.

Ce jour là, Darmagnac, capitaine depuis vingt sept mois - ce qui prouve que l'élection d'un officier supérieur par sa troupe avait déjà quelque ancienneté révolutionnaire -, était  encore " prisonnier de guerre " - laquelle ? où ?... possiblement en Italie...  - pour quelques jours puisqu'il fut " échangé " vers le 21 ou le 22 juin de la même année.

Le Prince de la Moskowa n'en dit pas plus.

Nivôse An 3 correspond à janvier 1795, sinon l'ordre des chapîtres de la table des matières publiée hier ne serait pas cohérente.

Le 18 nivôse An 4 correspond au 8 décembre 1795 ; le 27 nivôse du même An au 17 décembre 1795 ; le 29 nivôse An 4 au 19 décembre 1795...

et le 9 fructidor An 8 .... au 27 août 1800.

Ce jour là, Darmagnac était depuis vingt-huit mois en Egypte avec le grade de Chef de brigade... à environ 9  mois d'être nommé général à titre temporaire sur décision du Chef de l'armée d'Orient, Jacques-François de Boussay, baron de Menou.

Voilà pour ce jour...

Brefs rappels :

* Bonaparte fut nommé général en chef de l'Armée d'Italie le 12 ventôse an IV... soit le 2 février 1796... donc après l'emprisonnement de Darmagnac...

* Quant 18 brumaire An VIII., il eut lieu... le 9 octobre 1799.. Darmagnac était en Egypte.

Et nous... après un énième orage... sous un demi soleil !

Buena Notte !

Un peu d'air.... retour à la Révolution.... et à Darmagnac.

L'atmosphère viti-vinicole est si lourde et si pesante.... qu'un petit tour " ailleurs " sera le bienvenu !

Il y a quelque temps, je me suis autorisé à citer quelques vers de Walt Whitman tirés de l'édition Poésie / Gallimard de " Feuilles d'herbe ".

( Trop de pluie la font trop pousser...  " année de foin... année de rien "... donc " je fauche " )

Je fus pendant ma recherche de ce livre touché d'une vive émotion...

Dans la vaste pile des " Poésie / Gallimard " un petit livre de même format ...  sans date d'impression .... mais forcément de la fin du XVIIIème siècle.

" Lois et Arrêtés concernant l'avancement militaire "

J'en cite in extenso la table  des matières :

* " Loi du 14 germinal an 3, qui détermine un nouveau mode d'avancement militaire,

* Instruction approuvée par le comité de salut public, sur l'exécution de la loi du 14 germinal, an 3,

* Circulaire du... nivôse an 3, de la commission de l'organisation du mouvement des armées de terre,

* Arrêté du directoire exécutif, du 18 nivôse an, 4, concernant l'organisation générale de l'armée,

* Arrêté du directoire exécutif, du 27 nivôse an 4, qui modifie celui du 18 nivôse, en ce qui concerne les régiments des troupes à cheval,

* Décision du directoire exécutif, du 29 nivôse an 4, qui modifie l'arrêté du 18 nivôse, en ce qui concerne les troupes affectées aux colonies,

* Arrêté du 9 fructidor an 8, qui réduit à deux bataillons, trente-une demi brigades l'infanteries légère. "

Demain, je vous donnerai la correspondance des dates dans notre calendrier grégorien...

Ce jour, je vais vous récompenser de votre amabilité en citant le contenu de l'article 1er de laoi du 14 germinal an 3 :

" Dans toutes les troupes de la République, à la réserve des cas particuliers qui seront indiqués dans la présente loi, l'avancement aura lieu de trois manières, savoir :

- Un tiers par ancienneté de grade ;

- Un tiers par élection ;

- Et le dernier tiers à la nomination du corps législatif, sur la présentation de comité de salut public, ou du conseil exécutif...."

Et c'est ainsi, en application de cette loi, de son aticle 1er et de son alinéa 2,  que si j'en crois sa biographie, établie par le Prince de la Moskowa, Jean-Bartthélémy Toussaint Darmagnac fut élu capitaine par sa troupe au 1er bataillon de Haute-Garonne le 11 décémbre 1791.

Je ne doute pas que le livre qu'en ce moment j'ouvre et lis pour vous ait appartenu au Général D'Armagnac, peut-être le seul iimprimé qu'il ait laissé à Pressac ...

Passionnant !

Les oeufs se suivent.... et ne se ressemblent pas !

Chacun de nos franchissements dans un sens ou dans l'autre de la " poterne " de Pressac nous vaut d'être allégrement salué par le chant de Coco...

Mais la vraie récompense est, au retour de la sortie inaugurale du matin pour " lancer la journée ", de trouver en son nid " l'oeuf du jour " de Cocotte.

Sa taille est fluctuante selon les jours en fonction de la quantité de maïs qui lui fut délivrée ou qu'elle a su voler dans sa très approximative cachette.

( G., en sa prime enfance, commença sa " carrière commerciale " en vendant les oeufs d'une basse-cour alors bien dotée au seul client qui se présenta : le facteur ; ses " carnets de comptes : 12 oeufs au facteur.... 12 oeufs au facteur... sont une des pièces essentielles de l'histoire financière de son exploitation... aux côtés d'autres documents datant eux des années 1850. ) 

" Les oeufs se suivent ... mais ne se ressemblent pas ", expression imagée pour dire tous les pièges qui s'offrent ou qui sont tendus à un viticulteur, Pressac n'étant pas - loin de là - une exception.

Bientôt ( à partir du 1er juillet prochain, se dit-il ) une " réforme des A.O.C " :

Où est l'étude de faisabilité ? Où est l'étude d'impact ?

Est-on assuré que le nouveau système est gérable et qu'il sera dés le premier jour efficace ?

Est-on assuré de la compétence viti-vinicole des agents des O.D.G. ?

Est-on assuré de leur totale indépendance par rapport à tout acteur du secteur: viticulteurs, négociants, courtiers ?

Tous les participants - exploitant individuel et cave coopérative - seront-ils à égalité ?

Ici... pas de " gros bras " ... mais là ?

Qu'en sera-t-il du contrôle effectif des négociants ?

Y-a-il eu des " conventions secrètes "  ? Avec qui ?

Qui sera le réel garant du strict respect déontologie ?

Descartes au secours !

J'en connais " qui marchent sur des oeufs " !

Du choix - dans ses aspects théoriques - d'un cadeau de mariage !

Vous devez ces quelques lignes à un après-midi laborieux passé à girobroyer le " grand jardin " de Pressac, juste à gauche quand vous regardez le chai... où dorment, vous attendant, des bouteilles d'excellents vins...

En ce lieu ont campé, voici près de dix mois, une trentaine de scouts...

Le giro a soulevé une poêle des plus usagée - à eux ? jetée là par un passant peu écolo : ? - ...

Bref, est née en moi une question : " quelle est ta théorie du cadeau de mariage ? "

Beau divertissement se substituant heureuses questions aux lancinantes questions que nous nous posons à propos de la vigne, du vin, des orages attendus...

Chacun en convient : un cadeau de mariage doit " faire plaisir ".

Chacun en convient également : un cadeau de mariage doit être " beau ".

A ce point tous divergent : doit-il aussi être " utile " ?

Si les jeunes mariés manquent de beaucoup-de-tout, why not ?

Eliminons cet aspect qui complique le discours...

Ma théorie est plus simple : ils se sont unis.... notre cadeau doit aussi les unir !

Vient une première idée : la timballe en argent ou en métal argenté qui accueillera les fleurs réguliérement renouvelées que le jeune Monsieur offrira à la jeune Madame, accompagnées d'un commentaire charmant puisé au meilleures sources, par exemple " La Couronne de Julie ".... Elle sera placée à l'endroit le plus idoine de l'appartement commun pour être bien visible de tous, en particulier des parents et beaux-parents le premier soir où ils seront conviés à diner !

C'est bien... c'est bien... mais y-a-t'il mieux ?

Je songe... mais offre-ton jamais " la chose " - je songe, dis-je alors que l'orage monte, au matériel nécessaire pour faire la vaiselle : bassin,e, lavette, torchons ( entre deux et trois, au moins ).

Un soir, Monsieur lave... Madame essuie...

Le Lendemain, Madame lave... Monsieur essuie...

Entre chaque assiette.... entre chaque couvert... entre chaque verre... tout est permis !

Ne sont-ils pas de " jeunes mariés " !

" Vieux mariés ", imitez-les : ...... faites la vaiselle ensemble !

L'orage éclate !

"Madame de Petit Air " et autres brèves castelliennes !

Potron-minet, ce jour, ne nous fut point favorable ! ... Pas comme pour d'autres !

Contrairement à nos habitudes, nous ne pûmes aller à l'aube " aux Capucins " ( ? ), équivalent local de Rungis... voir " Jour de Marché " de François Garcia - www.lianalevi.fr -

Ma Dame, à l'heure du réveil, me déclara sans ambages et tout de go, qu'elle ne se sentait capable ce jour que de revêtir l'habit de " Madame de Petit Air " ( pour cause apparamment de nerf froisé ou de quelque chose de similaire ), la soeur puinée de " Madame de Grand Air ", celle qui réprimande en la Contesse de Ségur Sophie et les autres...

Pourtant dans la matinée, " Madame de Petit Air " fut fort active, au télèphone notamment : recherche de bouteilles pour une prochaine mise de son Entre Deux Mers 2007, commande de piquets de vigne, signature de chèques-contreparties de ventes récentes et autres charges quotidiennes...

Quoiqu'il en soit, à midi, " Madame de Petit Air " était toujours " Madame de Petit Air "...

Elle est à cet instant ( 15 heures ), " Madame-de-Petit-Air-qui-dort "..

Ce main, Fernando traita ( 3ème traitement ) les vignes basses, puis attela au petit tracteur le girobroyeur correspondant.

( Je souhaitais pouvoir passer cet après-midi le dit engin dans le " grand jardin... il pleut... demain : ?... après-demain : ? )

Cet après-midi, Fernando et Dominique vérifient les culées et installent quelques autres..

Si dans un instant je constate que " Ma Dame de Petit Air " dort encore, j'entreprendrai la relecture de " Madame de " de notre délicieuse Louise de Vilmorin.

Demain... un nouveau bulletin de santé !

E la vita !

- www.elysees.fr - " the French Presidential Site - permet de visionner une interview de Pierre Castel, eaux minérales, vins ( de Bordeaux - un des plus importants négoces - ) et bières réunis. Il accompagnait le Président en Angola où il posséde des brasseries. De son propos j'ai retenu ceci que bien des " dirigeants " du secteur viticole ferait bien de retenir " Faire un cadre prend du temps, beaucoup de temps: il y a des parties difficilles auxquelles il est long d'accéder "...

C.Q.F.D.

Vous voyez que je bois aux meilleures sources !

Un seul coeur... une seule adresse... - En Chine aussi....

Comme elle est facile à rédiger cette page...

Pour " un seul coeur " ( voir pages immédiatement précédentes )... une seule adresse... mail :

http://ludoetcecile.canalblog.com/

Ah ! Qu'ils étaient mignons nos deux "civils "...isés !

Ce soir du 26 mai... le journal télévisé de France 2 se déroule à son rythme...

Laurence Parisot sur les négociations salariales...

Vient le tour de la Chine... il est environ 20 h 15.

Sur l'écran, parmi d'autres militaires français dont des médecins ( N.B. : L'Ecole de Santé Navale de Bordeaux doit être conservée, non par " étroit patriotisme local "mais parcequ'elle forme à la médecine tropicale... et qu'il s'agit là d'un thème essentiel de notre coopération avec l'Afrique ), apparait un visage familier et familial, celui de Pierre de Villeneuve, jeune lieutenant-colonel, d'une famille de militaires, en garnison dans le midi, donc en " mission humanitaire " en Chine, notre neveu.

Fier de cette présence qui nous honore, je voulais sans tarder vous en faire part ... et dire à Pierre, à son épouse et à ses enfants toute notre affection.

Conclusion de ce jour : " Famille( s), je vous aime(nt) !

" Ho Quel Che Donato ".

Clé n° 1 : la langue est celle de la Provence, pays où ce jour, comme en Entre Deux Mers, il semble pleuvoir ; nos vignes respectives n'en seront que mieux arrosées.

Clé n° 2 : ce texte est celui de l'ex-libris qu'un écrivain très célèbre collait sur la seconde de couverture de chacun des livres qu'il lisait.

Solution du rébus, pour ne pas vous faire languir : il s'agit de Jean Giono.

Que dit cet ex-libris ?

" J'ai ce que j'ai donné ".

C'est aussi le titre du livre publié chez Gallimard dans la merveilleuse collection " Haute Enfance " par Sylvie Durbet-Giono, une des deux filles de cet écrivain majeur et qui reproduit diverses correspondances familiales.

La grappe de raisin peut le dire à propos du vin.

L'épouse-mère de famille tant à propos de son époux que de ses enfants

( Bonne Fête à vous toutes... et Merci )

Peuvent-ils le dire tous les chefs d'entreprise ou tous les banquiers ?

Peuvent-ils le dire tous les hommes politiques dont les choix les plus sensibles, à propos de la paix et de la guerre, du statut des immigrés ou de celui des prisonniers, des règles d'accés au système de santé ( cf. " Projet " n° 304 de ce mois de mai 2008 - www.ceras-projet.com - ) aboutissent à jeter certains d'entre nous - hommes, femmes et enfants - dans les situations les plus difficilles ?

Au bout du compte, pourront-ils les uns et les autres - nous avec eux du fait de nos choix - dire : " J'ai ce que j'ai donné ".

Je doute... je doute...

Grâce à Ciné-Philo d'Olivier Pourriol - www.cine-philo.fr - je viens de revoir un extrait de " Forrest Gump ", celui où Forrest commence à courir ... au bout de sa course, il comprend que même si celle-ci n'avait pas de sens évident pour lui, sauf de courir, néanmoins " il délivrait un message d'espoir ".

" J'ai ce que j'ai donné ".

Je ne peux évidemment me dispenser de citer trois lignes de la préface de Sylvie Giono ... car elles sont comme élogieuses pour son père et... pour nous vignerons :

" .... Moi-même je me souviens de son attention et de sa tendresse quand j'attrapais des maladies d'enfance. Quand nous étions guèries, mon père montait de sa cave une bonne bouteille de Bordeaux - le meilleur reconstituant, disait-il - pour trinquer au retour de l'enfant prodigue ! " ( page 25 )

A nous les maladies d'enfance !

Heureux êtes-vous si votre père est comme Jean Giono !...

et nous, vignerons bordelais, avec !

G. me convie à boire notre chocolat du dimanche soir.

Comment ne puis-je y courir ?

 

 

 

Recherche.... mari.... désespérément !

Pas de souci pour Cécile... Depuis 10 h 20, ce matin, elle est " épouse "... donc elle a un mari !

Pas de souci non plus pour celle de Georges Apley dans " Un Mariage à Boston " : elle a fini par lui mettre " la main au collet ".

Pas de souci non plus pour quelques autres... car leurs faire-parts de marige commencencent à arriver comme à Gravelote.

Non, non, ici il s'agit de ma G. bien-aimée, dont je dois reconnaître qu'elle devient parfois à la recherche désespérée d'un... mari...

Vous vous interrogez car vous croyez que je le suis...

Connaissez-vous vraiment la vie à la campagne ?

La scène se passe en général vers 13 h 15 - 13 h 30, en plein milieu de notre pacifique déjeuner.

Le téléphone sonne : " nous sommes une banque merveilleuse... voulez-vous nous rejoindre ? "

Le téléphone sonne : " nous faisons à Daignac une campagne de... dératisation.... économies d'énérgie... remplacement de vos vieilles fenêtres... notre technicien peut-il passer ?"

Le téléphone sonne : " Seriez-vous intéréssé par ... un abri de jardin ( ou un nain de  ..), une piscine... des produits phyto-sanitaires... ? "

et, plus souvent qu'à leur tour : " Madame ( c'est toujours G. qui répond ), vous avez gagné... et si vous venez avec votre mari il recevra... Il faut que vous veniez les retirer tel jour... en tel lieu... ( le plus souvent un magasin de commerce de meubles à trente ou quarante kilomètres de Pressac, mais pas exclusivement ) ...

( Parmi les " lots " récemment offerts : une bouteille de Bordeaux ( ! ) , une bourriche de produits alimentaires, un boîte de tournevis, un service de Limoges ... ) 

Comme je suis en toutes circonstances rétifs à me laisse conduire là où je ne veux pas aller et là je ne veux jamais y aller  ( " nul ne peut faire boire un yack qui n'a pas soif " ), dés lors G. se met à la recherche... plus ou moins désespérée ... d'un mari " de substitution !

Selon les jours, elle a plus ou moins bon goût !

Je m'en amuse... plus que je ne m'en émeut !

Je ne l'en aime que plus !

( N.B. :  "Le Monde " - www.lemonde.fr- dans son édition des 25-26 mai pose une question judicieuse : " Faut-il souscrire une assurance " annulation de mariage " ?.... Je réponds résolument  : non !  et précise que ce papier fut découvert ... postérieurement à la rédaction de cette page ! Dont' doubt !)

Cécile et Ludovic... meilleurs voeux de ... civilité !

Cécile et Ludovic, déjà très " chers-ensemble " dans nos deux coeurs, vous vous mariez " civilement " demain vers ( sait-on jamais : le maire ou son adjoint en retard ; vous qui hésitez sur le chemin le plus court pour aller à la mairie... etc. ) 10 heures, en la mairie de V.......N... avant beaucoup mieux dans quelques semaines et ailleurs.

( Celle ou Celui qui découvriront la localité qui se cache derrière les initiales V......N .... peuvent aller assister à cette cérémonie. Je rappelle d'ailleurs qu'à la Mairie, comme en l'Eglise, les portes doivent rester ouvertes ).

Eh ! Bien ! Tous nos voeux... d'un mariage " civis " - " citoyen ", c'est à dire de démocratie participative... pour tout ce qui relève de la vie quotidienne : courses, cuisine, ménage, vaiselle, rangement ... et autres...

Et encore : tous neveux d'un mariage " pour la cité " où vous tiendrez votre place d'époux unis, respectueux et respectés, disant " vos valeurs " sans crainte, ni peur, ensemble...

Et aussi : tous nos voeux pour un mariage de " civilités ", de prévenance, d'attentions toujours renouvelées, de petits bouquets de fleurs, de gentillesses inattendues pleines d'inventions, ...

Tournez et retournez dans tous les sens l'expression " mariage civil " : elle en a mille.... explorez .... pour qu'un jour.....  Livingstone rencontre réellement .... Stanley.

Vivat !

A Pressac, il pleut des hallebardes !

Do you know, Cécile ?

Your wedding will be happy, very happy.

Comment Têtard devient Grenouille !.... et grenouille.... boeuf ?

De bons et vieux amis déjeunent à Pressac.

Un petit tour par Bruxelles et l'avenue Louise...

Un petit tour par Icelles et son lac...

Arrivent dans la conversation les peits et arrières-petits enfants...

L'un d'eux, six ans, adore la nature et tout ce qui y vit... plantes commes bêtes et bestioles.

Il en est au temps de la création.

En Charente-Maritime, chez ses grands-parents, dans un bac rempli d'eau, il a mis quelques têtards.

Comment se tient-il au courant de leur évolution ?

Comment apprendra-til qu'ils sont devenus grenouille,

Un portable !

Une webcam mis entrain chaque jour à heure fixe, celle de son goûter à son retour d'école, dés lors que ses grands-parents sont sur leurs terres !

Et ainsi sous le regard d'un enfant admiratif, têtards deviennent grenouilles !

Quant aux grands-parents, ils sont " chavirés de tendresse ".

N'est-elle pas délicieuse ma petite et poétique histoire... ?

Pourtant écrite en un temps où quielques grenouilles voudraient devenir boeufs !

( Il faut une moralité à tout. )

Je la mets néanmoins en ligne.

Quel poisson vais-je pécher ?