Oui ! Les vins du " Grand Château de Pressac " - même consommés avec modération, ce que je rappelle ! - ont de l'avenir !
L'évidente preuve ? La démonstration ?
Le texte mis en ligne en ce matin même de ce 1er avril ( comme quoi les meilleurs économistes - suivez mon regard ! - savent à la fois être rigoureux et avoir le sens de l'humour. ) par Patrick Artus - www.ixis-cib.com - : " Il vaut mieux boire que travailler beaucoup. "
( notez au passage que j'ai essayé de trouver pour colorier ce titre celle des couleurs mises à ma disposition la plus proche du " Bordeaux " ! )
J'en cite la thèse :
" Nous expliquons économétriquement les différences entre les espérances de vie dans 28 pays de l'OCDE ( l'espérance de vie à la naissance va de 71,4 ans en Hongrie à 80,6 au Japon). Nous introduisons, comme variables explicatives possibles, la durée annuelle du travail (effet de fatigue), la consommation d'alcool, le taux d'emploi des salariés de plus de 55 ans (autre mesure de l'effet de fatique), la part de l'emploi public dans l'emploi total ( effet de repos).
Nous montrons que seule la durée annuelle du travail a un effet significatif (négatif) sur l'espérance de vie. Les autres variables n'ont pas d'influence significative, en particulier une consommation plus élevée d'alcool n'est pas associée, entre ces 28 pays, à une espérance de vie plus faible.
Si les Français travaillez autant que les Coréens, ils vivraient 4 ans de moins; si les Coréens buvaient autant d'alcool que les Français, ils ne vivraient que 1,2 an de moins."
Pour Patrick Artus, l'économiste le plus sérieux qui soit : Hip ! Hip ! Hip ! Hourrah !
Hib ! Hib ! Bib ! Hourrah !
Buvez bon ! Buvez bien et avec modération ! Buvez " Grand Château de Pressac " !
Amis de toutes les Corées, bienvenue !
Et maintenant, dés le début de l'aprés-midi qui vient, pour la dernière fois de l'année, de petites et de grandes secousses : piquets, me voilà !
Addendum à 19 heures, ce 1er avril 2008, de l'auteur : Tout ce qui précède est exact ! Absolument exact ! ... Seul l'auteur lui-même est ... " poisson "... et c'est exact !
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