" Malfaisances " est au pluriel !
" Bonheur " est au singulier !
Je commence par le bonheur !
C'est celui de l'élection, ce jour, de Claude Dagens, évêque d'Angoulême, à l'Académie Française.
Claude Dagens est, si je puis écrire ainsi, un " ami de la famille ", plus particulièrement lié à mon frère aîné.
Le jour de son ordination épiscopale, j'avais osé lui demander " d'être un bon évêque" !
Si j'en crois Hélène Carrère d'Encausse, l'actuelle secrétaire perpétuelle de l'Académie, Claude Dagens a été " choisi " et, maintenant " élu " parcequ'il a été reconnu " comme un homme d'Eglise, sachant lire, écrire, penser, comprendre et aimer ".
c'est donc avec joie que j'écris qu'il me semble bien que mon voeu a été exaucé !
Claude Dagens prend la suite du Cardinal Lustiger - voir une des pages précédentes de ce blog - et du Père Carré que G. connaissait bien, pour cause d'amitié avec des membres de sa famille, y compris Dominique Markovits, également dominicain, qui s'illustre aujourd'hui dans la parole et les écrits spirituels.
L'amitié a du bon !
Venons-en aux pluriels " malfaisants " :
* l'adoption par le Sénat d'un amendement qui supprime la protection des zones A.O.C. en matière d'O.G.M.
* l'apparente absence de réaction sur ce sujet des sénateurs de la Gironde, en particulier Gérard César qui se dit " le sénateur viticole ", et, plus généralement, des sénateurs des autres régions viticoles de France : " lobby or not lobby ? "
* l'attitude de la FNSEA à ce propos : déjà sa dominante majoritaire, les céréaliers, avait sacrifié les éleveurs ; c'est maintenant au tour des viticulteurs !
* la publication d'un décret modifiant les conditions d'attribution de certaines allocations familiales ( nous n'avons jamais été concernés ) : la politique d'un gouvernement ne peut être exclusivement financière ou économique ; un peuple se gère également par sa démographie ; même si la situation de la France est meilleure de ce point de vue que celle de la plupart des pays européens ( plus stupides, sans doute ), elle n'est pas totalement satisfaisante : le renouvelement des générations n'est pas complétement assuré ; ce n'est donc pas " moins " de politique familiale qu'il faut... mais " plus " et beaucoup de solidarité des " générations vieillissantes " ( G = moi ) vers les " plus jeunes " !
N'est-il pas vrai mes nièces et neveux ?
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