Qués Aco ?, dites-vous en découvrant ce titre
Restez... c'est passionant !
Dans un coin secret de Pressac, dans une niche, comme " l'autel des ancêtres " un ensemble de médaillons en stucs installé là par l'édificateur de notre habitation, Jen Barthélémy Toussaint d'Armagnac.
Vous le connaissez : je vous en ai parlé ; du moins j'ai commencé à le faire...
" Petits nouveaux " de tous pays, ainsi que le conseille notre excellent Jean de la Fontaine, " creusez... fouillez... un trésor est caché dans les pages précédentes...
Christine, délicieuse cousine, venue spécialement d'Aix en Provence, spécialisée en réhabilitation d'appartements entre Aix et Nice, nous honore ces jours-ci de sa présence pour poursuivre le chantier entamé en décembre dernier.
Entre temps, elle s'en fut à Pékin et G. tomba malade, mais pas de la peste et c'est une toute autre histoire !
Cet après-midi donc, par un temps maussade de bruine tout à fait bordelaise, Christine s'est attaquée à la niche et aux médaillons... décapant... grattage... légère couche de peinture... tentatives renouvelées d'identification de chacun.
Pas de difficulté pour L'Empereur, ni pour Marie-Louise !
Pas plus pour Alexandre Le Grand !
Pour les autres, plus délicat : ou pas de noms ou en minuscule.
Christine s'attaque au - presque - plus petit, apparemment cinq fois reproduit.;.
Nous y voilà... elle lit et me dicte : X... THIER..... K... THIER
BERTHIER !
Le Maréchal, alors encore général, mais major de la Grande Armée, auquel Bonaparte écrivit alors que d'Armagnac se battait devant Saint Jean d'Acre, pour le prier instamment de mettre à la disposition de ce dernier des oreillers et des couvertures.
Louis Alexandre Berthier ( 1753-1815 ), sans doute le " protecteur majeur " de d'Armagnac dés lors que celui-ci accéda aux fonctions d'officier supérieur.
Berthier qui dut intervenir pour que le Général Menou, chef de l'Armée d'Orient, nomme d'Armagnac au grade de général de Brigade le 27 avril1801, grade dans lequel il sera confirmé quelques semaines après son retour en France, le 30 novembre 1801.
Ainsi Pressac revécut ce jour, 1er mars 2008, une page d'histoire, de son histoire.
Descendants de la famille de d'Armagnac qui vous êtes retrouvés par la grâce de ces pages, je vous dédie ces lignes.
Il faudrait que vous songiez à prendre l'initiative, devoir moral, de la création d'une association de descendants qui s'occuperait de la rénovation de la tombe de votre ancêtre : elle en a bien besoin.
bonjours
Toujours lecteur de votre blog avec plaisir;
Pour votre suggestion d'asso il faudrait le souffler à M Costa de Londres si un jour il y a une suite à nos contacts.A mon gd désespoir je n'ai pas trouvé le trésor des pages précédentes si ce n'est voe annonce d'un tome 16 de..certaies écritures viollettes ???(malgrè plusieurs Mails aux Invalides restes ss réponse)
A une prochaine fois Salutations Mallet D
Rédigé par : Mallet Daniel | 07 mars 2008 à 22:55