Tout ce jour, de moins deux degrés à zéro, au mieux. Et un joli brouillard givrant qui blanchit les branches des arbres, mais rend la route difficile.
Les oiseaux viennent se poser sur le goudron des routes. Ils abandonnent la terre gelée.
Et pourtant "elles" et "ils" taillent : de Pressac à Libourne, de Libourne à Saint Emilion et Rauzan, partout ou presque, "elles" et "ils" taillent ou tirent les bois ; mains gelées, pieds gelés - nous ne sommes plus au temps des Misérables - néanmoins, ils travaillent.
Sans démagogie, chapeau !
Quand dans les jours qui viennent vous ouvrirez une bouteille de Pressac (ou, à la limite, une autre), songez à eux.
Les oiseaux viennent se poser sur le goudron des routes. Ils abandonnent la terre gelée.
Et pourtant "elles" et "ils" taillent : de Pressac à Libourne, de Libourne à Saint Emilion et Rauzan, partout ou presque, "elles" et "ils" taillent ou tirent les bois ; mains gelées, pieds gelés - nous ne sommes plus au temps des Misérables - néanmoins, ils travaillent.
Sans démagogie, chapeau !
Quand dans les jours qui viennent vous ouvrirez une bouteille de Pressac (ou, à la limite, une autre), songez à eux.
la médocaine d'origine et de coeur, et oui côté mère et paire on en trouve avec beaucoup de métissage, médoc et normandie, médoc et bigorre et jura donc vive le métissage,je suis passée en pélerinage perso à saint-raphael, donc je suis moins sotte sur Pey-berland et bravo pour tes chroniques, ne mollit pas, espère passer prochainement à pressac faire quelques provisions, affections lydie
Rédigé par : lydie claverie | 26 décembre 2005 à 11:20
vive la taille et les tailleurs, merci mon frère!!!
Merci aussi à notre oncle pour ses chers commentaires!!! (non pas d'arrêt hihihi)
Rédigé par : ludo | 03 mars 2006 à 22:39