Le "Bout de l'Ile" ?
De l'autre côté de la Garonne et au bord de celle-ci, à 70 kilomètres d'environ de Pressac, un groupe de maison, "Le Bout de l'Ile" qu'habitent notamment un de mes oncles et son épouse.
Coup de téléphone, ce matin : les nouvelles apprises ne sont pas excellentes: hospitalisation, fatigue et autres ; bref des soucis.
Devant la maison, deux pavillons de style indochinois, universellement connus de tous ceux qui, un jour, ont descendu ou remonté la Garonne en amont de Bordeaux.
J'y ai péché voilà fort longtemps des crevettes grises que je peux, ce jour même, trouver sur l'étal du poissonnier de Targon: c'est jour de marché. G. y est partie.
Un souvenir me revient : après votre mélancolie d'hier, il me faut aujourd'hui vous faire sourire.
Un des frères de l'oncle cité ci-dessus adorait s'en aller naviguer "au gré des flots" sur la Garonne.
Il emportait en général avec lui la grammaire d'une langue qu'il ignorait jusque là.
Au retour, il la savait par coeur.
L'anecdote n'est pas là.
Souvent, dans la maison familiale, pendant qu'il naviguait, le téléphone sonnait : c'était la capitaine d'un paquebot, d'un cargo, d'un vraquier ou autre qui remontait ou descendait, qui appelait son père pour que celui-ci invite son fils ....à dégager la voie.
Bon ciel, Philippe.
De l'autre côté de la Garonne et au bord de celle-ci, à 70 kilomètres d'environ de Pressac, un groupe de maison, "Le Bout de l'Ile" qu'habitent notamment un de mes oncles et son épouse.
Coup de téléphone, ce matin : les nouvelles apprises ne sont pas excellentes: hospitalisation, fatigue et autres ; bref des soucis.
Devant la maison, deux pavillons de style indochinois, universellement connus de tous ceux qui, un jour, ont descendu ou remonté la Garonne en amont de Bordeaux.
J'y ai péché voilà fort longtemps des crevettes grises que je peux, ce jour même, trouver sur l'étal du poissonnier de Targon: c'est jour de marché. G. y est partie.
Un souvenir me revient : après votre mélancolie d'hier, il me faut aujourd'hui vous faire sourire.
Un des frères de l'oncle cité ci-dessus adorait s'en aller naviguer "au gré des flots" sur la Garonne.
Il emportait en général avec lui la grammaire d'une langue qu'il ignorait jusque là.
Au retour, il la savait par coeur.
L'anecdote n'est pas là.
Souvent, dans la maison familiale, pendant qu'il naviguait, le téléphone sonnait : c'était la capitaine d'un paquebot, d'un cargo, d'un vraquier ou autre qui remontait ou descendait, qui appelait son père pour que celui-ci invite son fils ....à dégager la voie.
Bon ciel, Philippe.
quelle chute !
Rédigé par : benito | 21 octobre 2005 à 13:44